mercredi 26 octobre 2011

Analyse des mesures d'urgence et de la réaction des gouvernements

L'analyse des mesures d'urgences:

Les ressources qui ont été mis en place face à cette situation, est d'arrêter la climatisation dans les pièces non occupées, prévenir les gens de diminuer leur consommation d'hydroélectricité , mettre en place des endroits ou que les gens peuvent se rafraichir à l'air climatisé et plusieurs autres possibilités qui pouvaient faire économiser le gouvernement.

Les ressources humaines:

Pour les ressources humaines, j'estime qu'il ya surement eût des spécialistes qui ont été envoyés d'urgence pour réparer certains dégâts, comme par exemple,estimer les dégâts pour l'agriculture, les infrastructures dans les batîments, etc. En gros j'estime, qu'il y a eût des charpentier-menuisier pour les infrastructures auprès des batîments,des entomologistes qui sont des personnes qui ont étudiés dans la branche de la zoologie dont l'études est les insectes, le personel médicale,comme par exemple les infirmières, et d'autres personnes qui ont usés de leur talent pour aider les personnes.

Les ressources matérielles et alimentaires :

Il n'y a pas vrament eût de ressources matérielles et alimentaires. Les seules chose que je verrais sont les outils ou les machines que les personnes ont dû utiliser afin de réparer les dégâts.

Les ressources financières:

Les conséquences économiques de la sécheresse et de la canicule sont estimées par les syndicats agricoles à 4 milliards d'euros de pertes de chiffre d'affaires ; 59 départements français demandent alors la mise en place du fonds d'aide calamités agricoles.



Les acteurs ( personnes impliqués lors de l'intervention,comme par exemple la Croix-Rouge):

Il y a surtout eût le gouvernement touché du pays et quelques compagnies qui ont prétés mains fortes.
Comme par exemple l'une des compagnies ont réussit a ''prévenir'' la dimunution de l'eau en allertant les gens en leur disant de se préparés à diminuer leur consommation d'eau en vue de la canicule et de la sècheresse. Il à aussi eût le personnel médical qui sont intervenus dans toute cette histoire, afin de soigner les patients atteint d'un coup de chaleur ou autres problèmatiques lier à la chaleur.


Analyse de la réaction des gouvernements:

Pour faire face à la canicule et à la sècheresse, les gouvernements ont agient de manière éfficace, car ils sont intervenus avant , pendant et après la catastrophes est eût lieux. Ils ont intervenus auprès des compagnies afin de réduire le plus possible leurs coûts des dégâts. Ils ont même mis des mesures en place suite à cette catastrophe, comme par exemple 4 niveau d'alerte et une journée de solidarité.De plus, le gouvernement a fait circuler des mesures préventives pour certains travailleurs ont eût des accidents de travail (même que certains étaient mortels).

  • Niveau 1 est automatique : il s'active le 1er juin de chaque année et se termine le 31 août. Il correspond à une veille saisonnière.
Les niveaux 2, 3 et 4 sont fondés sur des seuils biométéorologiques régionaux qui les activent ou les désactivent. Ils entraînent des actions graduées :
  • Niveau 2 : L'institut de veille sanitaire alerte le ministre qui alerte les préfets des départements concernés.
  • Niveau 3 : Entrée en action du comité interministériel de gestion de crise (cogic). Les préfets déclenchent les plans blancs (hôpitaux), rouge (service de secours) et vermeil (personnes vulnérables).
  • Niveau 4 : Renforcement des plans, déploiement de l'armée, réquisition des médias.

Journée de solidarité:

Une partie des bénéfices de cette journée est prélevée par l'État, cet argent devait au départ être destiné aux personnes handicapés, et a été étendu à l'aide envers les personnes âgées après la canicule de l'été 2003.
  • Depuis le 1er juillet 2004, les employeurs versent à l'État une cotisation dite « de solidarité autonomie » (0,3 % des salaires soumis à cotisations URSSAF), destinée initialement à financer les mesures préventives,
  • en contrepartie du droit de faire travailler leurs salariés une journée supplémentaire par an, qui est par défaut le lundi de Pentecôte, qui reste un jour férié mais d'un type particulier,
  • Le bénéfice résultant de l'écart entre les deux versements profite donc à l'entreprise.
Cette mesure a été plutôt bien appréciée par l'opinion publique au moment où elle a été annoncée (septembre 2003). Mais rapidement, l'opinion s'est inversée, notamment grâce aux travaux du CAL, Collectif des Amis du Lundi. En effet, un grand nombre de sociétés avaient offert cette journée à leurs salariés ou avaient préféré maintenir le lundi de pentecôte chômé contre un jour de congé. On estime qu'en 2007, seulement 4 français sur 10 étaient au travail.


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